Dernières séances: Aquaman – Edmond – La mule – Glass – Nicky Larson – Sorry to bother you – Green book – La favorite

Aquaman : Affiche

de James Wan

Jason Momoa, Nicole Kidman, Amber Heard, Willem Dafoe, Patrick Wilson

3/5

Aquaman est humain par son père et issu du peuple de la mer par sa mère. Un jour il reçoit la visite d’une princesse des peuples de la mer. Les différends peuples marins vont s’unir pour détruire le monde des hommes. Aquaman étant le premier né de la reine Atlanna, il a tous les droit de revendiquer le trône afin d’empêcher la guerre, mais Aquaman n’a jamais été intéressé par le trône.

Aquaman : Photo Willem Dafoe

Je n’étais pas motivée au départ pour aller voir Aquaman. A mes yeux, la franchise DC Comics a signé son arrêt de mort lorsqu’ils ont eu l’idée stupide de ne pas faire de suite à Man of steel que j’avais adoré, et préféré nous sortir un mix entre batman et superman. Les films qui ont suivi ne m’ont pas du tout donné envie de m’y intéresser. Concernant Aquaman, j’étais intriguée d’abord parce que j’aime bien Jason Momoa (que j’avais vu dans stargate atlantis) et aussi parce que j’avais entendu de bons échos venant du public.

Aquaman : Photo Amber Heard, Jason Momoa

Finalement j’ai trouvé le film mitigé. La première partie dans laquelle on voit Aquaman vivre sa vie avec les pouvoirs qu’on lui connait est assez sympa, sa relation avec son père, son caractère, son humour aussi. Il y a beaucoup d’action du début à la fin, des pointes d’humour, on voyage pas mal, il y a un petit coté Indiana Jones à un moment du film. On ne s’ennuie pas, il y a un message écologique rapide mais toujours bienvenue et Jason Momoa est vraiment intéressant dans le rôle d’Aquaman, il arrive à éviter de rendre son personnage ridicule, il n’a pas ce coté victime de la vie comme souvent chez les superhéros classiques, il apporte pas mal d’humour en surhomme qu’il ne faut pas chercher et qui aime se souler à la bière avec son père.

Aquaman : Photo Amber Heard, Jason Momoa, Willem Dafoe

Les points forts s’arrêtent là. Ce que je n’ai pas aimé, c’est le coté un peu kitsch des royaumes sous marins des atlantes. La princesse sensée aider Aquaman à les mêmes cheveux qu’une certaine Ariel la petite sirène, ce qui lui donne un coté un peu ridicule. L’intrigue est sans surprise, pas de rebondissements surprenants ou inattendus, c’est cousu de fil blanc donc. Le pire reste tout d’abord l’image de la femme. A l’heure des personnages féminins forts ces derniers temps, notamment les personnages féminins de Black panther, ici on a le droit à deux figures féminines ternes. La princesse aux cheveux rouges semble peut être savoir se battre et tenir la conversation face aux héros et aux méchants mais dans son monde elle n’est qu’une noble dont le devoir est d’épouser le futur roi de son peuple afin de lui produire des héritiers. On se croirait à la cour du roi Henri VIII et pas du tout au 21e siècle, d’autant que le peuple atlante se targue d’être moderne et plus avancé que leurs cousins terrestres. Le pire reste la reine des atlantes, la mère d’Aquaman donc. Cette reine qui fuira son peuple pour éviter un mariage arrangé dans lequel on lui demandait de produire elle aussi des héritiers au trône et qui finira par rencontrer un terrestre, père d’Aquaman, gardien de phare; Encore une fois, le rôle du personnage féminin est donc sans intérêt. C’est Nicole Kidman qui interprète la reine et je dois dire que c’est le point du film que j’ai trouvé le plus raté. Elle joue la reine jeune et bien sur elle joue son rôle 30 ans plus tard. Nicole Kidman dans la peau de la reine jeune est vraiment choquant visuellement. Elle est tellement tirée de partout et photoshopée qu’on a l’impression d’être face à un personnage d’animée en 3 dimensions et pas à une humaine. Lorsqu’on la retrouve 30 ans plus tard, le seul signe de vieillesse sont ses cheveux légèrement blancs… son personnage n’est pas très crédible non plus :

Aquaman : Photo Jason Momoa

SPOILER ( elle laisse derrière elle l’homme qu’elle aime et son fils pour les protéger et part épouser son roi afin de lui donner des héritiers avant d’être jeter dans une fosse remplie de créatures voraces pour la punir d’avoir fauter avec un terrestre, on est donc au moyen age…on finit par apprendre qu’elle n’est pas morte dévorée par les créatures mais rescapée sur une ile de laquelle elle était coincée, donc 30 ans de solitude et elle revient au royaume des atlantes fraiches et saine d’esprit).

En bref, quelques éléments intéressants, Jason Momoa sauve à lui seul le film du naufrage. Pas indispensable.

Edmond : Affiche

de Alexis Michalik

Olivier Gourmet, Thomas Solivérès, Lucie Boujenah, Clémentine Célarié, Tom Leeb

4/5

Décembre 1897 à Paris. Edmond Rostand doit se rendre à l’évidence, il est un poète raté. Sa dernière pièce en vers, écrite deux ans plus tôt a été un four et depuis l’inspiration l’a déserté. Sa protectrice la grande Sarah Bernard ne le lâche pas pour autant et lui arrange un rendez-vous avec le grand acteur Coquelin; Il doit lui proposer une pièce mais Edmond n’a encore rien écrit! Il improvise donc un début de pièce lors de son rendez-vous. Coquelin lui annonce alors qu’il a une semaine pour écrire sa pièce et qu’ils devront jouer la première avant la fin du mois de décembre. Edmond doit à tout prix retrouver l’inspiration et croire en lui.

Edmond : Photo Thomas Solivérès

J’avais été voir la pièce d’Alexis Michalik il y a deux ans, et j’avais adoré. Le film ne propose que très peu de différences avec la pièce, l’histoire et les personnages restent les mêmes. On a droit à de beaux décors du Paris du début du 20e siècle. On ne s’ennuie pas durant toute la durée du film, les dialogues fusent comme au théâtre, il y a beaucoup d’humour, les acteurs sont tous très bons.

Edmond : Photo Olivier Gourmet

Un très bon divertissement, visuellement réussi avec d’excellents acteurs du premier rôle aux personnages secondaires. Je garde tout de même une préférence pour la pièce de théâtre, que j’avais vraiment beaucoup aimé.

La Mule : Affiche

de Clint Eastwood

Clint Eastwood, Bradley Cooper, Laurence Fishburne, Diane Wiest, Micheal Pena, Andy Garcia

4/5

Earl Stone, un horticulteur passionné, s’est toujours plus occupé de ses fleurs que de sa famille, qu’il a toujours délaissé. Alors qu’il se fait vieux, après une longue carrière pleine de succès, il doit abandonner sa maison et licencier les deux hommes qui bossaient avec lui après avoir fait faillite. Acculer financièrement il accepte un boulot qui semble simple: conduire sa propre voiture d’un point a à un point b, sans se montrer curieux de la cargaison installée dans son coffre. Le fait qu’il est un homme blanc, vieux, sans pv ni casier, fait de lui le parfait candidat pour transporter la drogue des cartels.

La Mule : Photo Clint Eastwood

Voici le dernier film de Eastwood. On retrouve le genre de personnage qui lui plait, le genre bougon, franc, téméraire, un peu comme dans son film Gran Torino. On passe donc de bons moments à suivre Earl conduisant son vieux pick up, sans s’inquiéter de la cargaison illégale qu’il transporte.

La Mule : Photo Clint Eastwood

Quelques pointes d’humour, quelques moments plus tristes, un film qui n’a aucune lenteur, aucun ralentissement. Sa relation difficile avec sa famille, sa relation avec ces « collègues » du cartel, sa façon de vivre comme si il avait encore 30 ans malgré son âge, sa rencontre avec l’agent du FBI qui le recherche. Un bon film prenant, même si ce n’est pas mon préféré d’Eastwood.

Nicky Larson et le parfum de Cupidon : Affiche

de Philippe Lacheau

Philippe Lacheau, Elodie Fontan, Tarek Boudali, Julien Arruti, Didier Bourdon

3/5

Le célèbre détective Nicky Larson et sa collaboratrice Laura, sont engagés par Letellier pour protéger le parfum de cupidon, un parfum qui permet de séduire n’importe qui. Mais voila que le parfum et son antidote disparaissent. Larson et Laura ont 48h pour retrouver le parfum et surtout l’antidote pour guérir ceux qui en ont été victime. Mammouth, le rivale de Nicky Larson est aussi sur le coup.

Nicky Larson et le parfum de Cupidon : Photo Élodie Fontan, Philippe Lacheau

Quand j’ai entendu parler du projet d’adaptation du célèbre manga des années 80 j’étais sceptique. Mais comme j’aime beaucoup Philippe Lacheau, Chut chut chut, la bande à fifi et bien sur Baby sitting et surtout Alibi.com qui m’avait beaucoup plut, j’ai laissé sa chance au film.

Nicky Larson et le parfum de Cupidon : Photo Élodie Fontan, Julien Arruti, Philippe Lacheau, Tarek Boudali

Finalement, j’ai plutôt aimé. Au début, ça fait quand même bizarre de voir Philippe Lacheau avec la mèche longue, les cheveux noirs, le t shirt rouge et le blazer bleu ciel. Dans un dessin animé ça passe, mais dans un film ça parait étranges. Pareil pour Laura avec sa coupe de cheveux improbable, son bombers américain, son t shirt des années 80…

Il faut prendre le film pour ce qu’il est, une simple comédie faite pour distraire et faire rire. Personnellement, j’ai ri, je me suis bien détendu, j’ai pas vu le temps passé, et j’étais très contente de repérer tous les clins d’œil qui renvois à mon enfance: le bâtiment C17 qui fait référence à Dragon ball, Tortue géniale, Ranma 1/2, dorothée…

Nicky Larson et le parfum de Cupidon : Photo Élodie Fontan, Philippe Lacheau, Tarek Boudali

On retrouve tous les éléments symboliques de Nicky Larson, les personnages secondaires, l’appartement de Nicky Larson, la voiture, la massue, l’obsession des filles de Larson, Mammouth…Ça reste sympathique à regarder.

Glass : Affiche

De M Night Shyamalan

Bruce Willis, Samuel Jackson, James McAvoy

3.5/5

David Dunn, l’homme incassable, essaye de retrouver la bête, qui aurait enlever 4 jeunes filles. Mais après avoir libéré les adolescentes, Dunn et la bête se font arrêter et enfermer dans un hôpital psychiatrique, dans lequel monsieur Glass est aussi enfermé depuis 19 ans. Le docteur Staple a 72 heures pour convaincre les trois hommes qu’ils n’ont rien d’exceptionnels et qu’ils souffrent tout simplement de délire.

Glass : Photo Bruce Willis

Glass : Photo Bruce Willis, James McAvoy, Samuel L. Jackson

J’avais adoré Incassable lors de sa sortie ciné, j’avais beaucoup aimé Split aussi dans une moindre mesure. J’étais curieuse de voir ce troisième volet. La première moitié est assez lente, on retrouve David Dunn et par la même occasion le style visuel et sombre d’Incassable. L’arrestation de la bête arrive assez vite et on se retrouve pour la grande majorité du film enfermé dans l’hôpital psychiatrique. Au bout d’une moitié de film on se demande où le réalisateur nous emmène, mais petit à petit les choses se mettent en place.

Glass : Photo James McAvoy

On se doute avec Shyamalan que certains rebondissements ou révélations sont à envisagés et heureusement c’est bien le cas. C’est toujours intéressant de voir la bête changée de personnalités, même si c’est moins présent que dans Split. J’ai aussi adoré revoir monsieur Glass et son fanatisme concernant sa vision du monde entre super héros et méchants. Une fin intéressante et surprenante d’une certaine manière, à voir si vous avez aimé Incassable, Split ou les deux.

Sorry To Bother You : Affiche

de Boots Riley

Tessa Thompson, Lakeith Stanfield, Armie Hammer

3.5/5

Dans une Californie en crise économique, Cassius Green est toujours au chômage. Il vit avec sa petite amie, artiste rebelle, dans le garage de son oncle. Il est content de trouver un boulot dans le télémarketing. Il doit vendre par téléphone des encyclopédies dont personne ne veut. Après avoir reçu le conseil de « prendre une voix de blanc » pour parler au téléphone, Cassius devient un « SuperVendeur » et peut alors accéder aux étages supérieurs, vendre des produits très chers à des clients très riches et se faire un maximum de blé. Mais son client numéro 1 reste Free-world, dont les méthodes de production sont qualifiées d’esclavage moderne.

Sorry To Bother You : Photo Lakeith Stanfield, Steven Yeun

Le film m’intriguait beaucoup. Sorry to bother you est complètement délirant, visuellement surtout. Au delà de l’humour du film, Sorry to bother you est une grande critique du monde capitaliste et de la productivité à tout prix. Ici, Cassius met de coté tous ses principes, tourne le dos à ses amis lorsqu’il réussi et se met à gagner beaucoup d’argent. Les méthodes de la compagnie Free-world sont immorales et ressemblent à de l’esclavagisme moderne avec des contrats de travail à vie, impossibilité de démissionner, 14h de travail par jour, mais plus aucune inquiétude quant à payer les loyers ou acheter à manger puisque free world loge et nourri ses employés, des chambres minuscules dans lesquelles des familles entières s’entassent. Le slogan de l’entreprise résume tout: boulot, dodo, pas métro.

Sorry To Bother You : Photo Tessa Thompson

Sorry To Bother You : Photo Jermaine Fowler

C’est drôle, intelligent, bien interprété, et complètement psychédélique dans la dernière partie du film. Visuellement c’est aussi souvent originale, les personnages sont habillés style années 70 (j’ai adoré les boucles d’oreille de l’héroïne), des trouvailles dans la mise en scène qui rappelle parfois le style de Michel Gondry qui signe d’ailleurs un clip de présentation de l’entreprise free-world dans le film. J’ai aussi beaucoup aimé cette critique de notre société surinformée et qui se fout de tout. Lorsque la vérité est dévoilée par le héros, alors qu’il s’agit d’un scandale énorme, Cassius est déçu de voir que personne ne s’y intéresse: oui, c’est horrible, bon, et alors? qu’est ce qu’on mange ce soir? et c’est quelque chose que l’on voit aussi de plus en plus souvent aujourd’hui.

Green Book : Sur les routes du sud : Affiche

de Peter Farelly

Viggo Mortensen, Mahershala Ali, Linda Cardellini

3.5/5

Au tout début des années 60, Tony Lip, un videur pour une boite de nuit huppée de New York, se retrouve au chômage technique pour deux mois, durant les travaux de rénovation de la boite. Pour nourrir sa famille, il accepte un boulot de  chauffeur. Il doit conduire et assurer la protection du Dr Shirley, un pianiste de génie, qui doit se produire dans plusieurs villes du sud profond en pleine période ségrégationniste.

Green Book : Sur les routes du sud : Photo Mahershala Ali, Viggo Mortensen

Green book ne révolutionne rien, c’est classique dans la forme, dans l’histoire, dans l’évolution des personnages, mais j’ai trouvé le tout attachant. On passe un bon moment en compagnie de ses deux hommes qui n’ont rien en commun. Tony Lip, un italo américain macho, qui a des préjugés sur les noirs, père de famille qui n’a pas de diplôme, face au Dr Shirley, un prodige du piano, qui possède plusieurs doctorats, qui parle 8 langues, qui a beaucoup voyager à travers le monde, qui possède une culture et une érudition rare.

Green Book : Sur les routes du sud : Photo Mahershala Ali

Il y a pas mal d’humour et bien sur les deux hommes vont apprendre à se connaitre et à s’apprécier durant les deux mois passés ensemble. Évidemment, ils vont se heurter à la réalité de ce que cela représente d’être noir dans les états du sud. Interdiction d’essayer des vêtements dans les boutiques, de dormir dans des hôtels qui ne sont pas réservés aux noirs, de manger dans les restaurants de la ville, d’être dehors après le coucher du soleil… Le film souligne l’hypocrisie de cette élite du sud, élite qui a demandé la venue du Dr Shirley, qui veut écouter sa musique mais qui ne souhaite pas le voir manger dans le même restaurant qu’eux ou utiliser les toilettes de l’hôtel dans lequel il est venu jouer.

Green Book : Sur les routes du sud : Photo Mahershala Ali, Viggo Mortensen

Même si le film est tirée d’une histoire vraie, et que les deux hommes sont restés amis jusqu’à la fin de leurs jours, la fin du film peut paraitre un peu trop gentillet et pourtant elle m’a plut.

La Favorite : Affiche

de Yorgos Lanthimos

Olivia Coleman, Rachel Weisz, Emma Stone, Nicholas Hoult

4/5

Au tout début du 18e siècle, la reine Anne règne sur les îles britanniques. Elle ne prend aucune décision sans l’aide de sa meilleure amie, Sarah Churchill, une femme politique qui sait manier la reine mais aussi les ministres toujours dans le but des meilleurs intérêts du pays. Elle reçoit un jour la visite d’une cousine, Abigail, qui se retrouve sans rien suite à la mort de son père qui a perdu toute la fortune familiale au jeu. Sarah emploie Abigail aux cuisines avant de la nommer comme sa femme de chambre, ce qui lui donne un statut. Elle décide alors de tout faire pour gagner la confiance de la reine Anne.

La Favorite : Photo Rachel Weisz

J’ai beaucoup aimé la favorite. Le trio d’actrices est incroyable. Olivia Coleman, que j’avais adoré dans Broadchurch joue une reine grasse, qui passe sont temps à trop manger de sucrerie, à faire des caprices, à câliner des lapins mais qui souffre également beaucoup de solitude, de blessure de jeunesse qui n’ont pas cicatrisées (la perte de la plupart de ses enfants), ou encore des crises de goutte qui la font souffrir horriblement. J’ai beaucoup aimé la relation entre la reine et Sarah, cette relation de je t’aime moi non plus, avec une Sarah qui peut frapper la reine, recevoir des gifles de sa part, être entièrement dévouée à ses caprices, de la cajoler et de l’engueuler dans la même heure.

La Favorite : Photo Emma Stone

J’ai particulièrement aimé le personnage de Sarah. Sa détermination, son intelligence, son sang froid, sa relation complice avec son mari, et toute son intelligence et sa force au service des intérêts de son pays. Contrairement à Abigail qui n’agit que dans un but, retrouver son statut sociale de naissance, évincer Sarah pour devenir la favorite de la reine et ainsi ne plus être à la merci de personne et à l’abri du besoin.

La Favorite : Photo Olivia Colman

Trois grandes actrices, trois grands rôles historiques très intéressants, le film alterne les scènes intimistes centrées sur les personnalités des personnages et sur les grandes lignes historiques de l’époque. Un très bon film.

5 réflexions sur “Dernières séances: Aquaman – Edmond – La mule – Glass – Nicky Larson – Sorry to bother you – Green book – La favorite

  1. Que de bons films ! J’espère aussi voir Aquaman ( même si c’est Kitsh, avec Marvel, je sais à quel type de cinéma m’attendre), Lanthimos ( j’avais adoré the lobster), Sorry to bother you, et le film de Shyamalan ( mais je vais commencer par la trilogie, il faut que je regarde glass en premier). En revanche, Niky Larson ( je n’ai aps vu les autres films de Lacheau), la mule ( alors que j’aime beaucoup les films de Clint Eastwood) et the green book ne me tentent pas du tout.

    • J’attends de lire tes avis! Nicky Larson c’est à voir si on a été fan du dessin animé ou si on aime les films de Philippe Lacheau mais ce n’est pas indispensable. j’ai beaucoup aimé La mule. green book est classique mais agréable à regarder

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