Islande, jamais deux sans trois

Et oui, l’Islande m’a vraiment marqué, plut, envoûté, et donc après mon séjour en septembre dernier, je n’avais qu’une envie, y retourner, sans savoir quand je pourrais le faire. Est ce que j’attendais le mois de mai pour voir les champs de lupins en pleine floraison ou bien l’hiver pour me donner une chance de voir des aurores boréales? Finalement, ce sont les circonstances qui ont choisi pour moi, car côté boulot les choses évoluent et le mois de janvier reste une des rares possibilités pour voyager durant le premier semestre 2023. C’est vraiment à la dernière minute, environ 2 semaines avant, que je me décide. Avion, hôtels, excursions. Au départ je voulais absolument visiter une autre région que celle de Reykjavík, mais en janvier les routes ne sont pas toutes ouvertes, les tempêtes de neige ou de pluie peuvent du jour au lendemain rendre impraticables certaines routes. Vu que je ne pars que 5 jours, je préfère finalement rester sur la région de Reykjavík.

Sans être bons marchés, les hôtels ne sont pas excessifs en janvier, les prix étaient déjà plus élevés pour le mois de février. Il faut dire que le soleil ne se lève pas avant 9h (premières lueurs) et se couche vers 17h (18h30 pour que la nuit soit complètement noire). Premier jour, j’ai l’habitude maintenant, il n’y a pas énormément de vols quotidien pour l’Islande, mon vol est à 13h. Avec les problèmes de transports en commun en ile de France depuis quelques mois, le trafic est beaucoup plus aléatoire et réduit, je prends donc des précautions mais miracle tout s’enchaîne bien et j’ai même droit au rer B qui va directement à l’aéroport CDG sans arrêt, ce qui fait que j’arrive bien en avance, mais malgré ça, il y a déjà déjà la queue pour enregistrer les bagages. C’est le terminal 1 cette fois ci, ça ne m’ait pas souvent arrivé et j’espère que ça ne deviendra pas une habitude car une fois passé les contrôles, il n’y a quasi rien pour manger. Il est midi, je commence à avoir faim et entre les sandwichs triangles proposés par le point relais, et les sandwichs qui font grises mines et qui sont chers proposés par la brioche dorée, je préfère rester à la diète. Le vol se passe plutôt bien si ce n’est un passager qui perd connaissance deux fois, les hôtesses demandent s’il y a un médecin à bord, et ouf il y a un médecin à bord qui n’a pas l’air d’être inquiet.

Trottoirs à Reykjavik

On arrive à l’heure à Reykjavík, ciel bleu , pas un nuage, il fait très beau mais aussi très froid. Je me dépêche de récupérer ma valise et de partir en courant récupérer le bus que j’ai réservé pour me ramener au centre ville, il n’y a qu’un bus par heure, je n’ai pas envie de le rater. J’arrive juste juste et je peux admirer les beaux paysages le long de la route avec un soleil couchant. C’est mon premier soir mais pas le temps de se détendre, une fois arrivée à l’hôtel je pars manger chez Lamb street food. En décembre, le pays a été frappé par une sévère tempête de neige. Partout sur les trottoirs, d’énormes tas de neige ont été repoussés de chaque coté pour laisser la place aux piétons mais le sol reste souvent par endroit recouvert de glace, de la neige transformée en glace et lissée par les pluies glacées. Je peux vous dire que si vous marchez directement dessus c’est la patinoire et le risque de chute. Je fais donc bien attention à là où je met les pieds. Après avoir manger tôt, je me prépare pour la soirée, legging, pantalon de rando coupe vent, t shirt thermique, gros pull en laine, doudoune, gant thermique, tour de cou en pure laine qui monte jusque sur le nez, bonnet, capuche, chaussettes thermiques, chaussures de rando…je pars en excursion pour tenter de voir les aurores boréales. Le ciel est totalement dégagé, parfaitement nettoyé, propre, mais les prévisions d’activité solaire ne donne pas beaucoup d’espoir concernant les aurores boréales. Je suis récupérée par un mini van qui nous emmène avec quelques autres touristes en pleine nature à l’extérieur de la ville et loin des lumières. Il fait un froid très sec et en levant la tête, quel choc que de voir le ciel étoilé. Des étoiles grosses comme des diamants, un ciel chargé, une voie lactée bien visible. Et là je me dis que même si je ne vois pas d’aurore, ça aura valu le coup d’œil, moi qui adore observer les étoiles, ça me change de ce que je vois depuis ma fenêtre! Finalement, quelques lueurs d’aurores boréales se font voir bas sur l’horizon, notre guide prend quelques photos. Les lueurs vertes n’étaient pas aussi vives à l’œil nu que ce que vous voyez sur la photo ci-dessous.

Aurores boréales
Aurores boréales dans le centre ville, les photos dessus sont assez fidèle à ce que j’ai vu

De retour en ville, je me sens crevée, je passe dans une supérette ouverte tard, prendre de quoi grignoter et en me rendant à l’hôtel, bam, les aurores boréales frappent la ville de manière bien plus franche que lors de l’excursion. De magnifiques lueurs vertes vives qui bougent dans le ciel en plein centre. Je me met au mieux dans des coins d’ombres pour profiter du show, je prend même quelques photos avec mon téléphone, photos qui ne rendent pas justice à ce que j’ai vu mais ça donne un peu une idée quand même.

le célèbre volcan Eyjafjallajokul

Le lendemain, après le petit déj, je me rends à 50 mètres de l’hôtel pour attendre le mini bus qui va m’emmener en excursion sur la cote sud. Notre guide nous emmène le long de champs de lave déjà vu lors de mes précédents voyages mais complètement méconnaissables puisque recouverts de neige. On s’arrête juste en face du célèbre volcan Eyjafjallajokul, le fameux qui a bloqué le trafic aérien en 2010 suite à l’éruption du volcan. On peut voir aussi au large, les îles Westmann. On s’arrête plus longuement à la cascade Skogafoss, impressionnante. Une grande partie de la cascade est gelée, mais le débit d’eau reste très fort. C’est un paysage incroyable le tout sous un soleil magnifique.

Skogafoss

3ème arrêt, c’est la célèbre plage Reynisfjara, connue pour son sable noir et sa cote de roches de basaltes. La mer est connue pour être traîtresse ici, car les vagues qui ont l’air de rien au loin peuvent s’écraser brutalement et emporter certaines personnes qui prennent le risque de s’approcher trop près du bord ou de grimper sur les rochers de basalte. J’ai vu des vagues s’abattre brutalement à des endroits que je pensais sûr. C’est une plage magnifique et toujours ce ciel bleu et ce soleil qui réchauffe un peu.

Reynisfjara, plage de sable noir

On s’arrête dans les hauteurs de Vik pour déjeuner à the soup company. Comme son nom l’indique, la spécialité est la soupe, rien de mieux par ce froid. Le concept est sympa, on commande une soupe au choix, servi avec du pain et du beurre et on peut se resservir à volonté, soit la même soupe, soit une soupe différente pour goûter. Je prends la Icelandic lamb soup, un bouillon clair avec de nombreuses épices, des carottes oranges et jaunes, des oignons et des morceaux d’agneau, c’était très bon et le personnel très sympa. Je suis la seule personne du groupe à voyager seule, alors le guide et un jeune homme qui est une connaissance du guide, se joignent à moi pour déjeuner, le guide est d’origine grecque et le jeune homme d’origine serbe, on discute et on fait un peu connaissance.

Église à Vik
glacier Solheimajokull

Après le déjeuner on s’arrête au glacier Solheimajokul, une des raisons pour lesquelles j’ai choisi cette excursion. En fait au départ, je voulais visiter une grotte de glace mais les sites se trouvent un peu trop loin de la capitale pour le faire en une journée. Il y avait une excursion qui proposait un transfert entre Reykjavik et Vik, point de départ pour la visite de la grotte, mais quand j’ai voulu réserver c’était complet. Au moins j’ai pu m’approcher de ce glacier et je ne regrette pas mon choix, c’était impressionnant. Le glacier, sur lequel certains touristes grimpent avec tout un équipement, se déverse dans une lagune, sauf que l’eau qui entoure les morceaux de glace détachés du glacier est gelée. Des touristes japonais marchent sur les eaux glacées pour se rendre au plus près. Sous le soleil, on peut admirer les différentes nuances de couleurs, c’est très beau. Sur la route je sympathise avec le groupe de touristes anglais, 3 personnes originaires de Manchester.

cascade Seljalandsfoss
les islandais adorent manger des glaces même en plein hiver

Dernier arrêt, la cascade Seljalandsfoss, une cascade que j’avais visité lors de mon premier voyage, mais cette fois ci tout est gelé et le chemin pour se rendre à l’arrière de la cascade est bloqué par la neige. Le soleil commence à se coucher et il est déjà temps de rentrer sur Reykjavík. Pour diner, comme je n’ai pas faim, je repasse par la supérette me prendre un petit paquet de chips. Juste à côté il y a un marchand de glace. Pot de lait en fer transformé en tabouret, je m’assois au comptoir pour manger une glace malgré le froid, les islandais adorent manger des glaces même en plein hiver. La glace pistache était vraiment bonne.

Blue lagoon

Jeudi, mes plans ont été complètement chamboulés. J’avais une réservation pour me rendre au Sky lagoon, un spa dans la banlieue de Reykjavík, au bord de la mer, spa que j’ai fait à chacun de mes voyages, c’est un coup de cœur. Mais la veille, alors que je revenais de l’excursion, j’ai reçu un mail de Sky lagoon m’indiquant qu’ils ne pourront pas ouvrir le lendemain, car le froid intense a entraîner une hausse de la demande en eau chaude pour Reykjavík et sa région et le fournisseur ne peut pas suivre la demande. La veille, je demande à l’hôtel s’il y a une piscine à proximité, pour au moins pouvoir aller un peu nager, mais on me répond que toutes les piscines municipales de la ville seront aussi fermées le lendemain, pour les même raisons. Je décide alors de réserver à la dernière minute, une excursion au blue lagoon. Le blue lagoon est un spa du même type que Sky lagoon, sauf que c’est plus connue, plus populaire et surtout plus grands, et que les eaux sont naturellement riches en silice, algues et minéraux, ce qui donne a l’eau une couleur bleue laiteuse assez incroyable. L’inconvénient par rapport au sky lagoon, c’est que c’est plus loin, il faut donc réserver un transfert en bus, ce qui ajoute des dépenses, sans parler que l’entrée est plus cher également. Il faut compter 45 minutes de route depuis Reykjavik, et environ 85 euros l’entrée. J’ai dépensé 120 euros pour l’entrée et le transfert aller retour. Le billet d’entrée comprend également un masque de silice à appliquer sur le visage et le corps pour dix minutes et un verre gratuit au bar du lagoon. Le bus me récupère devant l’hôtel à 9h,et j’arrive au blue lagoon à 10h. Aujourd’hui, contrairement à ce que la météo avait annoncé, il fait encore très très beau. Le soleil est à peine levé quand on arrive, la luminosité est timide. Les vestiaires au blue lagoon ne sont pas très pratiques, ce sont de petits espaces pour se changer et on se marche vite les uns sur les autres malgré que l’on ne soit pas nombreux dans la pièce. Une douche obligatoire et directe dans le lagoon. La couleur de l’eau est vraiment incroyable, bien chaude, le contraste avec l’air glaciale est frappant et produit de la vapeur en grande quantité, c’est bien simple c’est à peine si je distingue les choses à plus de 3 mètres devant. Parfois une brise disperse la brume et je vois un peu plus loin. C’est une sensation géniale, car on a vraiment l’impression d’être seule parfois. Il y a du monde mais pas tant que ça dans l’eau et l’un des avantages du blue lagoon, c’est que c’est tellement grand que c’est pas difficile de se retrouver dans un coin tranquille si on le souhaite. Le ciel est bleu pâle, le soleil pas apparent, caché derrière les roches volcaniques noires qui entourent le site, ça donne une atmosphère presque mystique. J’ai toujours hésité à venir au blue lagoon, peur qu’il y ait trop de monde, mais finalement j’ai beaucoup aimé mon expérience. Je suis restée deux heures dans le lagon, j’ai eu droit au masque de silice, mon verre de limonade offert au bar, je me suis détendue, j’ai profité des lieux et vers 12h je sors pour aller boire un café et un biscuit au café du lagon. A 13h, le bus me ramène en ville. Si j’ai aimé le blue lagoon, je garde quand même un faible pour le sky lagoon et son bassin à débordement face à la mer, son gommage au sel et son sauna avec une vue magnifique.

Les arbres, les fenêtres et certaines maisons sont souvent recouverts de guirlandes lumineuses à Reykjavik
Sun voyager, Reykjavik
Lac Tjornin, Reykjavik

De retour au centre ville, je me balade sur le bord de mer, entre la salle de spectacle l’harpa et la sculpture Sun voyager face à la mer, avant d’aller faire les boutiques dans la rue principale de Reykjavik. Je finis sur les bords du lac Tjornin qui a complètement gelé, il y a même des gens qui se baladent sur le lac. N’ayant pas déjeuner, j’attends l’heure d’ouverture des restaurants, 17h, pour me rendre sur le vieux port au restaurant Kopar, restaurant que j’ai déjà fait et que j’adore. Arctic char fumé en entrée avec une mayonnaise maison à l’aneth, délicieux et frais. En plat, saumon sauce hollandaise, granola, quinoa, betterave et carottes rôties, et en dessert le Aflternoon delight, un brownie très chocolaté avec une crème au caramel délicieuse, des suprêmes de mandarines, une boule de sorbet orange carotte et le chef qui vient avec sa casserole pour verser sur l’assiette du caramel fondue. Tout était parfaitement cuisinés, délicieux, avec mention pour le dessert.

Repas au restaurant Kopar

Vendredi dernier jour. Comme les piscines n’ont pas l’air de vouloir réouvrir, je décide d’aller le matin visiter le musée Perlan dont j’ai entendu beaucoup de bien. Le musée se situe sur une colline et il parait que la vue sur la ville vaut le détour. S’il fait moins froid aujourd’hui, il fait aussi bien moche. Quand je sors il pleut des cordes depuis le milieu de la nuit. Je passe par une rue pas fréquentée pour rejoindre un arrêt de bus mais impossible de passer, la glace sur le trottoir polie par la pluie rend le chemin plus glissante qu’une patinoire, une vraie catastrophe. Je me rends alors à 12 minutes à pied de mon hôtel pour prendre un autre bus. Le temps d’arriver je suis déjà bien trempée mais heureusement le bus arrive tout de suite. Il me reste ensuite 9 minutes de marche mais je n’ai pas anticipé l’état des trottoirs. C’est un quartier qui n’a pas du tout été déblayé, la route à prendre passe par des sorties de grandes routes, la circulation est plus dense, il est trop dangereux de marcher sur la route dégagée de toute neige plutôt que sur le trottoir recouvert de glace. Je met plus de 20 minutes là où j’aurais du en mettre que cinq, le chemin pour Perlan n’est pas indiqué et je comprend vite qu’il est bien plus simple de s’y rendre en voiture qu’à pieds. Arrivée à mi chemin, il me faut traverser une grosse artère mais le passage piéton pour traverser est recouvert de glace et impraticable et je comprend qu’il me restera ensuite à gravir un sentier qui grimpe recouvert de neige. Décourager je décide d’abandonner et de faire demi tour, j’ai vraiment peur de faire un mauvais pas et de me casser un os. Le retour vers le bus ne sera pas de tout repos, car le trottoir d’en face est encore moins dégagé et je dois même parfois marcher sur la route. La station de bus est inaccessible, entourée de glace, je suis obligée de continuer jusqu’à la prochaine station et de marcher sur la pelouse recouverte de neige et sans prévenir je me retrouve les jambes enfoncées jusqu’aux genoux dans la neige! bref, après beaucoup trop d’émotion et de stress de me casser la jambe sur une plaque de glace traîtresse, j’arrive enfin à la station et le bus ne tarde pas. La doudoune dégouline d’eau, de retour à l’hôtel je doit même essorer les manches, sans parler du sac à dos mouiller jusqu’à l’intérieur. Alors que je suis en train de me dire que je vais aller m’enfermer dans un gentil café cosy pour le reste de l’après-midi avec un bon livre et une bonne tasse de café, je reçois un mail de sky lagoon, qui miraculeusement va réouvrir à partir de 16h. Après mon expérience de ce matin je décide de réserver un taxi pour m’y rendre. Les dernières fois que j’y suis allée, je prenais un bus municipale et je finissais la route en marchant 25 minutes. Le quartier étant peu fréquenté, je me doute que les trottoirs n’ont pas été dégagés et j’ai eu bien raison car depuis le taxi, je vois bien que les trottoirs sont impraticables, des murs de neiges les recouvre.

Sauna au Sky lagoon face à la mer

Mais payer un taxi pour pouvoir profiter du sky lagoon ça valait plus que le coup. Quand j’arrive on me prévient quand même que l’eau est légèrement plus fraîche que d’habitude de un à deux degrés. Effectivement, en nageant dans le lagon je remarque quelques rares endroits où l’eau est plus fraîche, mais rien de flagrant. Le bassin à débordement face à la mer vaut le coup. Il n’y a pas beaucoup de monde, les lieux viennent juste de réouvrir mais il y a quand même un grand groupe de touristes italiens qui font énormément de bruit, ça crie ça hurle, ça rigole très fort, je m’attends à découvrir de jeunes adultes un peu fous, mais en fait il s’agit de gens bien plus âgés. L’un des employés viendra même leur demander de faire moins de bruit, car le sky lagoon est sensé être un lieu de détente et de calme. Le circuit du sky lagoon comporte un passage dans un puits d’eau froide à 12 degrés puis le sauna avec vue sur la mer, la douche de pluie froide à l’extérieur, le gommage avec leur produit à base de sel et de minéraux, le sauna vapeur et retour dans le lagon. J’attends que les italiens aillent faire ce circuit avant d’y aller pour m’assurer le calme dans le sauna. C’était aussi géniale que dans mes souvenirs, surtout le sauna sec avec vue sur la mer, zen assuré; je reste environ deux heures en tout, puis retour en taxi pour le centre ville. Je dîne à Momo ramen, un petit boui boui minuscule devant lequel je suis souvent passée et que j’ai toujours voulu tester. Gyozas carotte, noix de cajou et ramen à l’agneau. C’était très bon et copieux. Le lendemain je suis à la station de bus à 3h15 du matin pour repartir à l’aéroport, décollage à 7h30, il est déjà temps de rentrer en France.

C’est mon 3e voyage en Islande et je suis toujours sous le charme. Le climat à chamboulé un peu le programme, pas de piscine municipale pour faire des longueurs comme j’avais prévu, j’ai pu aller au sky lagoon à la dernière seconde, je n’y croyais plus, je n’ai pas pu aller jusqu’au musée Perlan comme je l’avais voulu. Mais quel bonheur de voir les paysages magnifiques avec la neige, sous un beau soleil qui donne une lumière dorée et un ciel bleu, la plage de Reynisfjara, la cascade de Skogafoss et surtout le glacier Solheimajokul. J’ai adoré voir ce ciel étoilé dans un air sec et propre, j’ai adoré être surpris par l’apparition des aurores boréales en plein centre ville, me laisser surprendre alors que je ne m’y attendais pas du tout. J’ai aimé avoir pu tester le blue lagoon et de pouvoir retourner au sky lagoon. Je ne pense pas en avoir fini avec l’Islande, j’espère y retourner à un autre moment de l’année, peut être au printemps, et cette fois ci, j’aimerais pouvoir faire une excursion sur la cote d’argent au nord ouest de reykjavik et pouvoir me rendre dans la région de Egilstassid.

6 réflexions sur “Islande, jamais deux sans trois

    • honnêtement, j’ai plus ressenti le froid à Paris quand il fait 5 degré avec la pluie et l’humidité, qu’en Islande avec ces – 10 degrés avec un temps sec, c’est beaucoup plus supportable!

  1. Bonjour Trillian, j’avais lu avec intérêt tes trois billets sur l’Islande et je viens d’admirer à nouveau tes photos. Les chutes d’eau sont différentes sous la neige. J’ai vraiment aimé cette île avec ses paysages. J’y retournerais peut-être un jour. Sinon, je ne conseillerai pas Icelandair: Boeing bruyant et pas confortable. Bonne journée.

    • Bonjour Dasola, j’ai hâte de lire tes billets sur l’Islande et de voir tes photos ! Pour ma part je n’ai eu aucun problème avec icelandair mais les offres de vols sont assez réduites il n’y a pas beaucoup de compagnie qui propose des vols directs depuis Paris.

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